Le vent pleure, Marie

Le vent pleure, Marie

Sortie le 18 janvier 2012, le nouveau livre de Stéphane Koechlin nous parle de ses parents et leur passion pour le jazz.

En 1950, Rodolphe Koechlin rapporta de La Nouvelle Orléans un disque de Louis Armstrong dans un Constellation à hélices. Ou était-ce en 1951 ? Qu’importe. La légende de la famille tient dans cette phrase. Car ce n’est évidemment pas un hasard si Philippe, le fils de Rodolphe, fonda par la suite la mythique revue Rock and Folk. L’attrait pour les musiques nouvelles, c’est ce disque qui l’avait suscité.
Pourtant la légende serait incomplète si on oubliait d’évoquer Marie, la femme de Philippe, elle-même initiée au jazz par la bonne de ses parents, qui cirait les parquets en swinguant. Ni Charles, l’oncle compositeur et critique musical. La légende devient saga. Courant sur plus de cent ans, traversant deux guerres, elle raconte la transmission de ces deux passions que furent la musique et la presse, si puissantes qu’elles semblèrent atténuer les deuils et augmenter les joies, mais surtout souder ses protagonistes au-delà des liens du sang. De la construction de la tour Eiffel (dessinée par un Koechlin !) aux années Mitterrand et en passant par Woodstock, elle embrasse le siècle que l’histoire retiendra peut-être, qui sait, comme celui du jazz et du rock.
Son narrateur ? Stéphane, le fils de Marie et Philippe.
Profession ? Ecrivain, bien sûr, mais aussi critique musical…

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